C’est lors d’une milonga clermontoise que j’ai vu Patrice Meissirel pour la première fois. Dès qu’il est rentré dans le bal le temps a suspendu son vol, la dynamique du bal s’est instantanément métamorphosée. Une belle énergie a irradié la piste. Progressivement les regards ont convergé comme hypnotisés dans sa direction. C’est la beauté du tango, la façon dont il peut mettre mettre en valeur une femme et un homme. A l’époque je ne le voyais que comme un inconnu, aujourd’hui je sais qu’il transmet son art. J’ai hâte de le voir aux côtés d’Irene Moraglio et d’apprendre. Rendez-vous sur la page du stage du 14 et 15 mars 2015 pour en savoir plus sur ce couple !
Une vidéo pour mettre des images sur des mots …